| Nous sommes arrivés à Dori le 8 septembre en fin de matinée. Aussitôt, nous nous sommes arrêtés à la laiterie, où une des transformatrices nous a accueillies. | | La présidente de la laiterie de Koudougou a donné un coup de mainpour filtrer le lait qui arrivait. | | La responsable de Dori s'est occupée des vendeuses qui venaient remplir leurs glacières pour aller à la rencontre des clients. | | A Dori, nous avons logé chez Madame Barry, une femme qui a obtenu cette année un prix du projet Azawak, pour avoir obtenu 4122 litres de lait avec 3 vaches Azawaks. | | Le soir, dès que les animaux sont rentrés de la brousse, | | la traite a commencé. C'est un travail pour lequel elle se fait aider, | | mais qu'elle aime bien, aussi, faire elle-même.
| | Ensuite, elle nous a conduit dans une autre cour, où elle conserve son foin. Début septembre, il lui restait encore un peu de foin de l'année dernière. | | Elle nous a montré sa bottelleuse. Une simple caisse métallique sans fond ! | | Sur la route du retour, nous nous sommes arrêté chez M. Boureima Diallo, le président de la FEB. | | Il nous a fait faire le tour de sa ferme. Ce qui nous a donné l'occasion d'admirer son champ de niébé fourrager. | | Ensuite, nous nous sommes assis pour échanger. Les éleveurs de Koudougou ont dit combien ils avaient été intéressés par le voyage. Qu'ils allaient se mettre au travail dès le retour à la maison, pour commencer à faire du fourrage. Le président a insisté, comme M. Saga d'Aribinda, sur l'importance de bien nourrir ses animaux toute l'année. |
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